Les lignes de la main

Le marc de café est sans fond,

Impossible de  décrypter  les nouvelles,

De la diseuse de bonne aventure.

M’étaient connues dans un songe sans fin,

Nos ennemis ne triompheront pas,

Nous abattrons d’un trait de bonheur notre amitié

Convoitée.

Tiens ferme la barque de la vie,

Mon soutien est indéracinable

Face à la menace.

Surplombe les cheveux gris et noirs

Du fantôme qui rôde dans la demeure

De l’avenir prometteur.

Bijeljina, le 19 septembre 1996

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