Une heure et quart

Ton nom évoque les larmes

Jimai-Ngamlon

De  nos corps longtemps séparés

Mai

Nous réunit.

J’aimerai vider mon saoul

Sur la frontière de Ferney-Voltaire

Qui mène une vie de bohême

Sentir ton corps blottit dans mes bras

Cela devient lointain et vain

J’invoque en fermant les yeux

Près de moi couve l’odeur du feu

Intense à jamais ma bien aimée

Dans mes pensées pour l’éternité.

Paris 30 avril 1991

Partager sur facebook
Facebook
Partager sur google
Google+
Partager sur twitter
Twitter
Partager sur linkedin
LinkedIn
Partager sur pinterest
Pinterest

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *